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giornata 1.071






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VIOLENCE. Un différend FAMILIAL TOURNE AU MEURTRE par
TUEUR à GAGES.
***(de notre correspondant de guerre LE Perfesseur BELTOCCHI)***
C'est comme ça que ça s'est passé (et pas AUTREMENT).
Une groseille de mer plate (MC333) mais mâle dans ses couilles
et un peu aussi dans sa tête et 100% dans son EGO, buvait un
verre mi-plein/mi-vide de BON vin d'Alsace GEWÜRSTRAMINER -vin
"gris" presque blanc-sec LEQUEL, comme NUL l'ignore, se passe
dré-dré (très) bien AVEKE LE POISSON (de mer)-. ELLE-IL absorbait
ça en douceur&style (cosy), ni avec affolement ni -donques- aveke
(bis repetita) raffolage à LA CON, CAR rien ne presse dans un vin
pareil et IL/elle consommait le "doux" (façon de dire) breuvage
EN la compagnie de Dorotée SPIZZAMORTI, méduse lanterne à papier
de profession et NAISSANCE mais actrice de cabaret (sans alcool le
lundi, de 18h à 23h16) et cantatrice aveke DENTIER rose à ses
heures. Detta Spizzamorti -per la cronaca- était mariée avec
(aveke aussi) un SIPHONOPHORE des profondeurs et DONC souvent
absent (: il LUI fallait BIEN 4 nuits de décompression pour
remonter de là bas et ce n'est pas necessaire qu'on vous fasse(sse)
UN DESSIN pour comprendre(sse) qu'en surface il était TOUT
LE TEMPS fatigué!). Le SIPHONOPHORE avait un trés fort BEL nom
(GELSOMINO de SUCCHIOTTODIROSALPINA, un noble, S.V.P.!) MAIS
rien d'autre d'attachant. Côté SEXE il n'était pas la joie. Mais
pas, mais pas, MAIS PAS du TOUT. La pauvre SPIZZAMORTI pleurait
souvent dans le W.C., où elle cachait son ombre de tristesse.
(ça semble même qu'elle allait dans les chiottes pour se
masturber sauvagement, pour tout vous dire...). Son état de manque
étant simili-pathologique en forme quasi-crhonique, en un certain
moment de longue frustration. Il lui fallait, donc, en finir avec
tout ça, et couper le cheveux EN TROIS. MAIS, un grand amour et
sincère s'il reste en sa faim de sexe finit TOUJOURS dans les
FAITS DIVERS(cronaca nera). Surtout lorsque un trioletage
[TRIOLISME?] intervient.
C'EST ALORS QUE LE TUEUR PRIT PLACE TROIS TABLES PLUS LOIN.
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤(A SUIVRE, GIORNATA 1.074)
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CRONACHE DI GIUSSANA.
Pomeriggio e sera con i pesci per aria.
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(9) *** le farfalle di fronte all'angoscia *** ¤¤¤
Il motorino di Andrilla era un «Guzzino».
Piuttosto una bicicletta a vedersi, di primo acchito,
con i tubi un po' più grossi, più solida,
con il meccanismo propulsore ingegnoso e minuscolo
applicato sopra la ruota posteriore su cui un rullo di alluminio
trasmetteva il movimento direttamente sulla gomma.
E faceva i suoi buoni trenta orari,
con un consumo insignificante di benzina,
miscellata al tre per cento
d'olio. Talvolta, nella buona stagione, lo usava magari per
andare fino a scuola, a Udine, e il padre si crucciava, l'ammoniva,
cercava di farla desistere, non brandeggiando i rischi
della strada quanto un semplice: «Ma
ti stanchi!» che ad Andrilla non significava molto,
lei che si divertiva e amava il suo motorino perchè la rendeva
leggera quanto una farfalla a cavalcioni d'un grosso insetto.
E il brontolio fievole che ronzava fuori
dal tubicino di scappamento ricordava facilmente più un
calabrone che un mezzo meccanico.(...)
(*** SEGUE in completo in MAX CAPA 12:TESTI
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